Né le 12 mars 97 à Toulon et résident depuis toujours dans la ville de Brest, Reynz sort son premier projet intitulé « Olympique Poésie » en mars 2019.
 

La poésie des grandes plumes du rap, la poésie des Rimbaud et Verlaine, la poésie des grands diseurs de maux de la chanson française. C’est elle qui inspire Reynz depuis l’enfance, sous toutes ses formes, fulgurances et douleurs. Olympique comme le sport, comme l’entête de grands clubs de football, cette discipline où chaque match se gagne tant à coup de finesses techniques que de brutaux coups d’épaules. Si descentaines de jolies formules ont surgi de l’esprit de Reynz depuis qu’il a commencé à rapper, ce n’est qu’avec ce titre que ce Brestois a enfin su précisément définir sa vision du rap, ce pourquoi il a laissé ce genre vampiriser son esprit. 2 mots comme titre d’un premier EP qu’il souhaitait plus beau encore qu’un premier enfant, résultat de mois de gamberge créative et d’années d’amusement derrière un micro. Lui qui écumait déjà les freestyles radio à 16 ans dans sa ville de Brest, s’est construit 2 réputations au fil des années. Celle d’un dessinateur vocal, rimeur hors-pair d’images marquantes, conteur à la voix grave des nuits d’ivresse et de plaisir de sa ville, des états d’âmes tourmentées des tourmenteurs d’âmes. Puis celle d’un showman en puissance, au charisme scénique désarmant pour un gars d’à peine 22 ans, dont il a su jouer sur une vingtaine de dates depuis fin 2017. Un poète rugissant à l’aise avec la mélodie, qui dévoile en cette fin d’hiver 2019 ce à quoi ressemblerait un tacle d’Ndombele ou un dribble de Fekir mis en musique.